LES 13^e JOURNÉES MONDIALES SANS TÉLÉPHONE PORTABLE & SMARTPHONE !

« Lutte contre l’Adikphonia  » 6,7,8 février 2013

La 13^ème campagne des  Journées Mondiales sans téléphone portable des 6, 7, 8 février 2013 a pour thème « Lutte contre l’Adikphonia ».

En avril 2012, on découvrait un nouveau mot « Nomophobie » mot inventé à la suite d’une étude anglaise en février 2008, pour désigner les phobies dues à la séparation de son outil de communication : téléphone portable, Smartphone.

« Nomophobie » n’est pas parlant pour les usagers et peut entrainer une confusion avec « l’Homophobie », surtout qu’actuellement la société française s’agite sur la question du Mariage pour tous.

Phil Marso, l’instigateur des Journées mondiales sans téléphone propose de remplacer ce mot ambigu par ADIKPHONIA.

Définition : Maladie addictive provenant d’avancées technologiques plus particulièrement des téléphones portables et des nouvelles générations de Smartphone. L’individu vit 24 h / 24 dans la connexion compulsive de peur d’être coupé du monde. La séparation peut être matérielle (ne peut plus toucher l'objet) ou due à une défection-technologique pouvant entraîner des troubles de nervosité, d’anxiété passagère, voire permanente. La phase aiguë de la maladie est atteinte lorsque le sujet est replié sur lui-même, dans un monde virtuel où l’absence de contact humain le submerge.

Voici trois questions à se poser en face d’une telle maladie qui pourrait devenir addictive :

Êtes-vous atteint d’Adikphonia ?

Allo Docteur ! l’Adikphonia, c’est grave ?

Transmettez-vous l’Adikphonia ?

Phil Marso publie le 4 février 2013 un livre numérique « Adikphonia » qui sera disponible gratuitement sur Amazon.fr du 4 au 8 février.

L’ouvrage tente d’expliquer le phénomène de l’Adikphonia qui touche de plus en plus les usagers de téléphone portable, Smartphone. Un certain nombre de conseils préventifs pour lutter contre l’Adikphonia au quotidien, sera proposé. Le décor est planté dans un environnement d’agent secret, et le ton est cocasse.

Rappelons que Phil Marso est l’auteur de plusieurs ouvrages de polars humoristiques sur des sujets de santé : Si… d’aventure ! (Sida), Passage à tabac (Tabagisme), MST en Cavale ! (IST), Échafaud pour alcoolo (Alcoolisme), Braquage de neurones ! Tu meurs ? (Dangers des téléphones portables pour les ados). Ouvrages de vulgarisation sur la prévention santé qui suscitent de l’intérêt auprès des établissements scolaires depuis plusieurs années.

Nous invitons les médias à profiter de ces trois jours pour lancer ce débat de réflexion.

Organisation & Relation presse - philmarso@yahoo.fr - Les demandes d'interviews se font par e.mail. Ceci pour faire face aux différentes demandes de France et de l'étranger. Phil Marso est disponible le 6,7,8 février pour les médias qui souhaitent l'interviewer. Tél : 01 45 88 48 34 ou 33 1 45 88 48 34 (Étranger) -

La Journée Mondiale sans Téléphone Portable est une marque déposée à l'INPI depuis 2003 et appartient à la structure indépendante MEGACOM-IK fondée par l'écrivain Phil Marso.

NAISSANCE DE CETTE IDÉE CITOYENNE

Phil Marso écrivain indépendant et instigateur de ce rendez-vous citoyen depuis le 6 février 2001 propose 3 jours de réflexion sur le Téléphone portable, outil technologique qui a changé le comportement humain dans sa manière de communiquer. Le 6 février correspond à la Saint Gaston, clin d’œil au célèbre couplet du chanteur français Nino Ferrer : « Gaston y’a l’téléfon qui son, et y a jamais person qui y répond », prétexte pour lancer un débat de réflexion à travers les médias autour de cet outil de communication.

Phil Marso avait publié en 1999, « Tueur de Portable sans mobile apparent » (Ed.Megacom-ik). Le premier polar mettant en scène de crime,  cet outil de communication. En 2009, il publie le premier ouvrage de prévention pour ados sur les dangers du téléphone portable « Braquage de neurones ! Tu meurs ! » (Ed.Megacom-ik).

Phil Marso écrivain publie le premier livre au monde entièrement rédigé en SMS abrégé sous le titre « Pa sage a taba vo SMS » (2004). Suite à des retours d’orthophonistes, l’auteur invente un dérivé du SMS : La P.M.S (Phonétique Muse Service). L’objectif est de rebasculer des élèves en difficulté par des exercices de traduction de la PMS / Français.